Textes et contributions – mercredi 20 novembre 2024

Sally GABORI


Peindre sa terre natale

Sally Gabori commence à peindre en 2005, à plus de 80 ans. Ses œuvres, en apparence abstraites, sont autant des références topographiques que des récits ayant une signification profonde pour elle, sa famille et son peuple. Elles célèbrent à la fois différents lieux de son île natale, que Sally Gabori n’a pas revue depuis près de quarante ans, et les personnes de sa famille qui y sont liées par leurs noms. Les lieux qu’elle peint sont aussi associés aux luttes politiques pour la reconnaissance des droits des Kaiadilt sur leurs terres.

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Non héritées d’une tradition iconographique kaiadilt, les peintures de Sally Gabori sont avant tout le témoignage d’un imaginaire à l’horizon illimité, d’une impressionnante liberté formelle, nourrie par les variations infinies de lumière sur le paysage que suscite le climat violemment contrasté du golfe de Carpentarie. Combinaison de couleurs, jeu de formes, superposition de surfaces, variation de formats : pendant les neuf années de son activité artistique, Sally Gabori peint près de 2 000 toiles explorant comme en accéléré les multiples ressources de l’expression picturale.

À ses débuts, Sally Gabori travaille sur des toiles de petits formats, qu’elle exécute avec un pinceau fin et des couleurs non diluées. À partir de 2007, elle change d’échelle pour réaliser des toiles monumentales de 6 mètres de long, conservant toute la vigueur de son geste et de son audace dans l’emploi de la couleur. Cette même année, inspirée par son premier retour sur sa terre natale, Sally Gabori mène un effort considérable pour cartographier sur la toile de nombreux lieux qui lui sont chers. Elle réalise trois peintures collaboratives de 6 mètres de long avec ses sœurs et nièces, toutes nées sur l’île Bentinck avant l’exode. Vers la fin de sa carrière, elle peint également d’importantes œuvres avec ses filles Amanda et Elsie, et encourage ses autres filles, Dorothy et Helena, à entrer au centre d’art de l’île Mornington.

Après sa disparition en 2015, la Queensland Art Gallery |Gallery of Modern Art à Brisbane puis la National Gallery of Victoria à Melbourne lui consacrent une rétrospective majeure en 2016 et en 2017. Ses œuvres sont aujourd’hui présentes dans les plus importantes collections publiques australiennes.

 

Kaiadilt, une vie en exil

Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori est née vers 1924 sur l’île Bentinck, dans le golfe de Carpentarie, dans le nord de l’Australie. Elle appartient au peuple kaiadilt et parle la langue kayaldid. Son nom, Mirdidingkingathi Juwarnda, est issu de la tradition kaiadilt qui veut que chacun soit nommé en fonction de son lieu de naissance et de son ancêtre totémique. Ainsi, Mirdidingkingathi indique que Sally Gabori est née à Mirdidingki, une petite crique située au sud de l’île Bentinck, et que son « totem de conception » est juwarnda, le dauphin.

Largement isolés, avec une population atteignant 125 habitants en 1944, les Kaiadilt sont le dernier peuple côtier de l’Australie aborigène à être entré durablement en contact avec les colons européens. Sally Gabori et sa famille ont longtemps mené une vie traditionnelle, reposant presque entièrement sur les ressources naturelles de leur île. Comme la plupart des femmes, Sally Gabori était chargée de la pêche, de l’entretien des pièges à poissons en pierre qui jalonnent les rivages de l’île et du tressage de paniers en fibres naturelles.

À partir du début des années 1940, des missionnaires presbytériens installés depuis 1919 sur l’île Mornington, au nord de l’île Bentinck, tentent de convaincre les Kaiadilt de rejoindre leur mission, en vain. Mais en 1948, à la suite d’un cyclone et d’un raz-de-marée qui inondent une grande partie de leurs terres et contaminent les réserves d’eau douce, les 63 derniers résidents kaiadilt, dont Sally Gabori et l’ensemble de sa famille, sont évacués vers la mission presbytérienne de l’île Mornington. Leur exil, qu’ils pensaient de courte durée, s’étendra finalement sur plusieurs décennies. À leur arrivée à Mornington, les Kaiadilt sont logés dans des campements, sur la plage, et les enfants séparés de leurs parents et installés dans des dortoirs de la mission, avec interdiction de parler leur langue maternelle, rompant ainsi tous liens avec leur culture et leurs traditions.

À partir des années 1990, après des années de lutte pour la reconnaissance des droits territoriaux aborigènes, la législation australienne reconnaît les droits des Kaiadilt sur leur terre et un petit ensemble d’habitations, ou outstation, est installé sur l’île Bentinck, à Nyinyilki, pour permettre aux Kaiadilt qui le souhaitent – dont Sally Gabori – de revoir leur île natale et d’y séjourner temporairement.

 

Publications – 11 octobre 2025 | Colloque – Le souffle de l’existence

 

 

Germaine ACOGNY

 

 

CRÉATIONS CHORÉGRAPHIQUES

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1987 « SAHEL »

1988 « YE’OU » (L’Eveil) qui gagne en 1991 le London Dance and Performance Award

1989 « AFRIQUE, CE CORPS MEMORABLE », basé sur les poèmes de l’homme d’Etat et poète L.S. Senghor

1994 « YEWA, EAU SUBLIME » pour 7 danseurs et 4 musiciens : Première à l’Opéra de Lyon le 16 septembre 1994, dans le cadre de la Biennale de la Danse MAMA AFRICA

1995  » Z » – Création pour la compagnie de la ville de Sao-Paulo / Brésil (BALE DA CIDADE DE SAO-PAOLO), un hommage au héros national Zumbi, avec la musique originale de Gilberto Gil.

2001 Création du solo « TCHOURAÏ », une chorégraphie de Sophiatou Kossosko

2004 Création de « FAGAALA », une co-chorégraphie avec Kota Yamazaki/Japon, pour 7 danseurs Africains

2006 Création de « WAXTAAN », une co-chorégraphie avec Patrick Acogny

2008 Création « LES ECAILLES DE LA MEMOIRE – SCALES OF MEMORY » une co-chorégraphie avec Jawole Zollar des Urban Bush Women (New York)

2010 Solo « Songook Yaakaar», une chorégraphie de Pierre Doussaint et et de Germaine Acogny. Première à la Biennale de la Danse à Lyon les 17 et 18 septembre 2010.

2014 Création du solo « Mon Elue noire – Le sacre 2 » pour Germaine Acogny par le chorégraphe d’Olivier Dubois.

2015 Création du solo « A un endroit du début », en collaboration avec le metteur en scène Mikael Serre, mêlant danse, théâtre et vidéo. La première a eu lieu au Grand de la Ville du Luxembourg en juin 2015.

2015 – 2020 Tournées mondiales

2018 « MULTIPLE-S » un duo chorégraphié par Salia Sanou du Burkina Faso

2018 Le livre de Laure Malecot Germaine Acogny, danser l’humanité, Les Editions Vives voies

2019/2020 Création du DUO « Common Ground-s » avec Malou Airaudo dans le cadre de la mise en place du « SACRE du printemps » de Pina Bausch pour 38 danseurs de 14 pays d’Afrique

APPARITIONS CINÉMATOGRAPHIQUES

2020 : La traversée, film d’Irène Tassembedo

2018 : Iya Tunde de Laure Malécot

2018 : Yao, réalisé par Philippe Godeau avec Lionel Louis Basse et Omar Sy

2017 : Hivernage de Laurence Gavron

2016 : Bois d’ébène de Moussa Touré

 

Loïse BARBEY-CAUSSÉ

Articles 

Titre: Fantasme et élaboration biographique : le petit Serguei chez Freud. 1988
Françoise Bogoratz-Muret, Loïse Barbey-Caussé
Dans : Revue française de psychanalyse (vol.52, n°1, 1988)
pp. 91-101.

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Titre : Propos sur le destin traumatique d’Hermine Hug-Hellmuth, première psychanalyste d’enfants. Document. (1989).Dans : Journal de la Psychanalyse de l’Enfant (n°7, 1989)pp. 286-306.

 

Titre : Perspectives métapsychologiques sur le dessin transférentiel de l’enfantDans : Le travail du dessin en psychothérapie de l’enfantParis Dunod 1996pp.161-223.

 

Titre : Je suis un extra-terrestre pour le monde entierHélène Artigala, Loïse Barbey-Caussé, Françoise Fradin, Edwige GigouDans : Délirer, rêver, jouer : avec le jeu restaurer l’espace du rêve contre le délireIsaac Salem, Philippe ValonParis : L’Harmattan 2023pp. 175-191

 

Titre : Le maternel d’Annie AnzieuDans : Annie Anzieu, Psychanalyste de l’enfance. Du corps au langage, destins de l’affectCollection SEPEAIn Press éditions 2022pp. 125-146

 

Françoise CHAINE

Publications

Mélancolie du corps et sublimation
Revue française de psychosomatique, 2023, n63

Chronique de la vie ordinaire d’un normopathe
Évolution psychiatrique, 2016, n81

L’après coup en psychosomatique, comment « se débrouiller avec », 
Revue Française de psychanalyse, à paraître 

Nilüfer ERDEM

Publications en turc
Elle a publié des articles psychanalytiques et littéraires dans des livres et revues en turc. Elle est l’auteur d’un recueil d’essais sur la psychanalyse, l’art et la littérature: Sanatçının Kendine Yolculuğu (Le voyage de l’artiste au Soi), pour lequel elle a reçu en 2022, le prix des Ecrits psychanalytiques de l’Association Psychanalytique d’Istanbul.

En français
Erdem, N. (2016). L’adresse d’Oedipe. Le Carnet psy 2016(6), no.200, Paris: Ed. Cazaubon.
Erdem, N. (2006). La pièce vide. Revue Fr de Psych., 2006(5).

Françoise FRADIN

Participation collective au livre « Délirer, rêver, jouer », Avec le jeu, restaurer l’espace du rêve contre le délire, sous la direction de Isaac Salem et Philippe Valon, Psychanalyse et civilisations, l’Harmattan, 2023

Rajah SHARARA

Publications

– SHARARA, R., « Vers la rencontre interprétative », Interpréter dans la cure, Revue Française de Psychanalyse, 2012/2, Vol.76, pp 477-486.
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– SHARARA, R., VAUTHERIN-ESTRADE, M., « Transgressions des lois de l’humain, le
Génocide cambodgien », Revue Champ Psychosomatique sur les Transgressions, à paraître,
2005.
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FOGNINI, L., « Mourir, survivre, résister dans l’emprise du « merveilleux » monde de Khieu Samphan », Extrait du débat du 8 mars 2014, (Entretien avec Rajah SHARARA) autour du film « L’important c’est de rester vivant », in Présence de Ferenczi Un colloque international à Paris, Le Cos Héron, 2015/223, Erès, pp118-128

– SHARARA, R., Vivre sa dépression en exil, Grossesse et périnatalité, Manuel de Psychiatrie Transculturelle, Travail clinique, travail social, Grenoble, La Pensée Sauvage, Editions, 2004, pp 364-371.

– SHARARA, R., « Emilie ou l’accouchement psychique d’une mère », Métisse, La Lettre de L’Association Internationale d’Ethnopsychanalyse (AIEP), octobre, 2000, IV, n°3, pp 24-28.

– SHARARA, R., MORO, M R., « Le Portage des bébés », Journal de Pédiatrie et de Puériculture, E.M.C. (Encyclopédies Médico-Chirurgicales), octobre 2000, 13, n°7, pp 412-418. Article écrit à la demande du Journal pour sensibiliser le personnel médical et para- médical au portage psychique des bébés.

– SHARARA, R., « Le N’Doëp chez les lebous et les wolofs du Sénégal » (2000), in Glossaire Coffret : CD-Rom Multimédia – Livre – Film, Star Film International, Erès à paraître.

Notes de lecture

– DELIGNY, F., « Graines de crapules » – suivi de « Les vagabonds efficaces », Paris, Dunod, 1998, par SHARARA, R., in Métisse, La Lettre de l’Association Internationale D’Ethnopsychanalyse, mars 2000, IV, n°1, p 31.

– MERCIER, M., SERBAN, I., SALBREUX, R., « Approches Interculturelles en Déficience Mentale –l’Afrique – l’Europe – Le Québec » – 15ème Congrès de l’AIRHM (Association Internationale de Recherche Scientifique en faveur des personnes handicapées mentales), Belgique, Presses Universitaires de Namur, 1999, par SHARARA R.

– HANUS, M., La Mort aujourd’hui, Paris, Editions Frison-Roche, 2000, par SHARARA, R

 

En réanimation Polyvalente, Centre Hospitalier Le Raincy-Montfermeil : – La Douleur psychique, article écrit pour le protocole sur la douleur (inédit).

 

 

Intervenants – Conférence 15 janvier 2025 – À l’écoute du subtil – Clinique des états archaïques de la psyché

MARIE DESSONS

Psychologue clinicienne, psychanalyste et maître de conférences à l’université Paul-Valéry, Montpellier 3 (Laboratoire Epsylon EA 4556), et membre du Groupe de recherche en psychopathologie clinique (GRPC).

Béatrice Pinter

Béatrice Pinter, psychologue, psychanalyste, membre de l’APF (Nantes). Après une expérience en CMP, puis en libéral auprès d’enfants et d’adolescents, je travaille maintenant avec des adultes dans mon cabinet à Nantes. J’ai aussi l’expérience de supervision de groupes.


Nelly GAILLARD-JANIN

Psychiatre-psychanalyste, analyste en formation à l’APF (Association Psychanalytique de France)
Je travaille à l’ASM13 depuis 22 ans; j’y ai occupé différents postes ; actuellement je travaille au Centre de Psychanalyse et de Psychothérapie Evelyne et Jean Kestemberg; ainsi que sur le Pôle Médico-social, qui accueille une population d’adultes présentant des Troubles du Spectre Autistique.
Je suis installée comme analyste dans le 12e depuis 2008.


Dominique MAZEAS

 Psychologue clinicienne, Psychothérapeute, Maître de Conférences, Université Sorbonne Paris Nord, membre de la CIPPA, membre de l’Institut Contemporain de l’Enfance (ICE)

Intervenants – 08 mars 2025 – Ce que les thérapeutes doivent à la diversité culturelle

Muriel BOSSUROY

Muriel Bossuroy est maître de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord, chercheure au sein de l’Unité Transversale de Recherche Psychogénèse et Psychopathologie (UTRPP, EA 4403). Elle est psychologue clinicienne, notamment à l’hôpital Jean Verdier à Bondy, et membre SPP

Ali CHERRI

Ali Cherri explore les liens entre histoire, archéologie et société contemporaine, en révélant l’impact de la violence – naturelle,
politique ou symbolique – sur les paysages, les objets et les récits. À travers sculptures, installations et films, il questionne la
construction des mémoires collectives et examine comment les catastrophes transforment les relations entre l’humain, la nature et les structures de pouvoir..

Crédit photo : Dmitry Kostyukov for The New York Times

Nayla DE COSTER

Nayla DE COSTER, psychanalyste, membre superviseur de l’ALDeP (Association Libanaise Pour Le Développement de la Psychanalyse).
Membre de Psike Istanbul (Institut psychanalytique d’Istanbul pour la formation, la recherche et le développement)
 

Mayssa El HUSSEINI

Mayssa El Husseini est psychologue clinicienne et psychanalyste. Maître de conférence à l’université de picardie Jules Verne, elle est affiliée au laboratoire « centre d’histoire des sciences, des sociétés et des conflits (CHSSC EA 4289). Ses recherches portent sur les traumatismes collectifs et culturels, le contre transfert dans la clinique du trauma, l’impact de la réalité externe sur la relation transféré-contre-transférentielle et les réaménagements du cadre.

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Consultante auprès de médecins sans frontières, elle a pratiqué dans différents meta-cadres l’amenant à approfondir ses recherches sur l’interaction entre politique histoire metacadre et cadre thérapeutique.

Charlotte MARCILHACY

Charlotte Marcilhacy est psychologue clinicienne, Docteure en Psychologie, psychanalyste, membre de la Société Psychanalytique de Recherche et de Formation (SPRF) 

Pr Marie Rose MORO

Professeure de psychiatrie du bébé, de l’enfant et de l’adolescent, Psychanalyste, SPP, IPA, Chercheur INSERM CESP Unité 1018, Responsable de l’axe Ados/transition/transculturel, Membre de l’Institut Universitaire de France (IUF)

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Après des études de médecine, elle s’est formée en philosophie et en psychologie. Elle est Docteure en médecine et en sciences humaines et psychanalyste avec une formation en anthropologie. Depuis 30 ans, d’abord à l’hôpital Avicenne en banlieue parisienne, puis au centre de Paris, à l’hôpital Cochin, elle développe une clinique et une thérapie transculturelles qui tentent d’adapter nos cadres de soins, nos techniques et nos méthodes de recherche en santé mentale aux familles immigrées et à leurs enfants. Elle développe également une nouvelle manière pluridisciplinaire de prendre en charge les adolescents. Actuellement cheffe de service de la Maison des adolescents de l’hôpital Cochin (APHP), Maison de Solenn, elle a été consultante pour Médecins sans frontières pendant 30 ans et dans plus de 30 terrains humanitaires différents (Afghanistan, Colombie, Guatemala…). Elle est un leader international de la psychiatrie transculturelle de l’enfant et de l’adolescent.

Présidente de l’Association Internationale d’Ethnopsychiatrie (AIEP) www.aiep-transculturel.com qui s’occupe de la santé des migrants et de leurs enfants et du centre de formation et de ressources transculturelles Babel : www.centre-babel.fr.

Principaux thèmes de recherche : Situations transculturelles, effets sur les bébés, les enfants, les adolescents et les familles. PTSD chez les bébés, les enfants et les adolescents. Interactions précoces entre parents et enfants. Radicalisation violente des adolescents. Parentalités.

DISTINCTIONS• Légion d’honneur « Chevalier » en 2007 et « Officier » en 2021• Ordre du Mérite« Chevalier » en 2004 et « Officier » en 2014• Docteur Honoris causa de l’Université de Mons (Belgique), 2022• Membre correspondant de l’Académie de médecine

Rajah SHARARA

Psychologue clinicienne, psychothérapeute, psychanalyste, Fondatrice et présidente de l’association Psyché et Art, membre adhérent de la CIPPA. 

Geneviève WELSH

Psychiatre, psychanalyste SPP, analyste de groupe, elle travaille en libéral et à l’ASM13 où elle a créé un groupe transculturel pour exilés au Centre Kestemberg. Ses principales activités, enseignements et publications concernent les situations transculturelles, les traces des traumas collectifs et les dispositifs de groupe.  

Intervenants – Conférence 21 mai 2025 – Processus d’effacement psychique et médiation thérapeutique : sur les traces de la subjectivité.

Soraya ALAOUI

Soraya Alaoui, psychologue clinicienne, psychanalyste (membre de l’Académie
Psychanalytique Autour de l’Œuvre de Racamier) et psychodramatiste.

Jeannine DELGOUFFRE

Jeannine Delgouffre, Diplômée en sciences psychologiques et psychopédagogiques  de l’ULB ( Université Libre de Bruxelles )
Psychanalyste, membre titulaire de la SBP
( Société Belge de Psychanalyse )

Chargée de cours à l’ULB pour la formation des psychologues cliniciens et psychiatres en psychothérapie  d’orientation psychanalytique
Présidente honoraire de l’IFISAM
( Institut de Formations et d’Interventions en Santé Mentale )

Pratique en centre de santé mentale et pratique libérale. 

Florence VIAL-AUBEY

Psychiatre, Psychanalyste, Membre titulaire de la SPP, et du GLP-RA (Groupe Lyonnais de psychanalyse Rhône-Alpes)
Docteur en psychologie et psychopathologie clinique, affiliée au laboratoire de recherche le CRPPC à l’université lumière Lyon 2.